La pandémie de Covid-19 a eu un impact non négligeable sur le monde du travail et plus spécifiquement sur la gestion des ressources humaines. Nous sommes le 25 février 2020, date du premier cas confirmé et de la propagation en Suisse du coronavirus. Un peu plus d’une année s’est écoulée et nombreux sont les changements visibles dans le comportement humain au sein de la société. “La bise, la poignée de main… autant de gestes que le coronavirus a chassés de nos vies, nous imposant au contraire la quarantaine et le port du masque”, écrivait le Nouvelliste. Nous pensions que cela ne nuirait pas à la pratique en entreprise ?
Aujourd’hui, l’Humain en sort renforcé et se targue de faire valoir ses valeurs, ses convictions; mais surtout ses besoins. La pleine conscience et le rythme soutenu par les attentes managériales du passé nous auront convaincus que la routine doit faire de la place à plus de créativité et d’espace. Faut-il travailler pour vivre ou se laisser vivre en travaillant ?
Le challenge auquel font face aujourd’hui les sciences de la gestion des ressources humaines (GRH) se voit démultiplié par des attentes fortes, cette fois provenant de l’ensemble des collaborateurs. Dans cet élan de relance économique mondiale, combien de temps sera nécessaire avant que le passé ne nous rattrape ?
Une situation politico-économique plus complexe qu’auparavant
La gestion des ressources humaines subit des conséquences politiques, sociétales et économiques indéniables. Nous parlons ainsi de résilience, le début d’un changement de paradigme certain!
Selon une étude présentée par le cabinet de conseil PricewaterhouseCoopers en France, la crise sanitaire nous oblige à dresser une nouvelle définition des modèles existants : leadership et engagement, nouveau pacte de confiance, collaborateurs et mobilisation, compétences et organisation.
La gestion des ressources humaines, science embarquée dans le pilotage de l’entreprise, vise notamment à répondre aux différents enjeux : la protection des collaborateurs, la capacité d’être fédératrice, animer les organes principaux de l’entreprise, déployer des stratégies pour valoriser les compétences sociales et identifier par anticipation les besoins du marché.
Chez Audacia: une capitalisation sur l’humain
Par son activité principalement basée sur le web, Audacia Group se prévaut d’une configuration moderne et agile face à la reprise économique. Cette année de (semi-) confinement a permis à notre entreprise de reconsidérer certaines tendances et de capitaliser sur l’humain. L’approche prospective du marché nous a permis de dénicher des pépites dans le domaine du e-business, d’entrevoir de nouvelles voies de développement et de laisser libre cours à la créativité dans les nouveaux projets.
Les cadres théoriques imposés par les pratiques du passé se doivent d’aborder aujourd’hui une stratégie adaptée dite “responsive”. Une entreprise “audacieuse” est tenue de sortir du cadre pour permettre un accroissement des forces et la capitalisation sur l’humain.
Ainsi, lorsque l’ensemble du personnel est conscient de son enjeu au sein de la matrice sociétale, les résultats se portent mieux et des connexions nouvelles laissent plus de place à l’entraide sur le lieu de travail.
Comme disait l’écrivain Alexandre Dumas : “Un pour tous et tous pour un” !
Content, Communication & RP at Audacia Group
With a bachelor’s and master’s degree in linguistics and communication, Adrien has had the opportunity to work as a redactor, freelance journalist and web journalist. He’s now Content, Communication and RP Manager at Audacia Group, where he writes content and manages communication for both the Group and some acquired brands.